Nos Thés Dammann
Notre équipe a sélectionné pour vous des dizaines de variétés de thés plus excellents les uns que les autres.
Dammann Frères, fidèle à la tradition des grandes origines du thé, sélectionnent, importent et inventent des mélanges de saveurs subtiles.
Une quête de perfection dont le but unique est la satisfaction et le plaisir de tous les amateurs de thé.
Boîte en métal Dammann Frères, sur la forme originale de la boîte à sous carrée à couvercle plat, contenant 100 g. de thé en vrac.
Théières Fonte et Porcelaine.
Cuillères à Thé, Filtres réutilisables ou jetables.
Une passion restée authentique
Créateurs de mélanges et de parfums inédits
A l’instar d’un grand œnologue ou d’un grand parfumeur, devenir un grand blender demande de la patience et des années d’apprentissage. Et comme il n’y a plus vraiment d’école, blender est devenu un métier de grande tradition, transmis de père en fils, de Maître à élève.
La force de Dammann Frères est d’avoir des blenders exceptionnels qui sélectionnent, achètent et mélangent. Qu’il s’agisse de Grands Jardins (baptisés “Grands Seigneurs” en 1950 par Jean Jumeau-Lafond), de thés classiques ou de mélanges créatifs, le savoir-faire du blender se révèle crucial.
Il est le garant de la constance du goût de vos mélanges favoris. En effet, il en va des thés comme des grands vins : le terroir, les conditions climatiques, les transformations réalisées au sein des plantations peuvent faire varier la qualité des grands crus du thé.
Pour que l’amateur puisse déguster une boisson identique d’année en année, le blender doit être capable de choisir entre les différents jardins et les différentes récoltes et adapter les mélanges pour conserver une qualité et un goût constants.
Comme un parfum de femme contient des dizaines, voire des centaines d’essences différentes, les mélanges de Dammann Frères sont hautement élaborés et la plupart d’entre eux sont dans la pratique inimitables.
Le Furogama
La cérémonie du thé
Le Furo ou foyer portatif est la pièce maitresse du Chanoyu dans les cérémonies « d’été », en opposition au foyer enterré ou Ro, utilisé dans les cérémonies de période « d’hiver ». Pour contenir l’eau à chauffer, une bouilloire, appelée Gama ou Kama, suivant la transcription, vient coiffer le foyer. On nomme le tout Furogama ou, de façon moins courante Chagama. Le tout forme un accessoire si représentatif du Chanoyu, au même titre que les chawan, qu’un musée lui est notamment consacré à Kyoto.